SCANDALES A L'EMPLOI

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Loi initiative économique – 2003-721. Article 35 –

refus d’application

 

Pas de quoi fantasmer, elle reprend les mesures précédentes avec de très légères modifications sans intérêt.

 

SEUL l’article 35 est une aide pour les candidats à la création de leur emploi. (cet article reprend en partie la revendication exposée sur ce site)

 

J.O n° 179 du 5 août 2003 page 13449

LOI n° 2003-721 du 1er août 2003 pour l'initiative économique (1)

Article 35


 I. - L'article L. 131-6 du code de la sécurité sociale est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Par dérogation aux quatrième et sixième alinéas, et sans préjudice de l'article L. 131-6-1, les travailleurs non salariés imposés suivant le régime visé à l'article 50-0 ou à l'article 102 ter du code général des impôts peuvent demander à ce que leurs cotisations soient, dès l'année au titre de laquelle elles sont dues, calculées sur la base du revenu effectivement réalisé. »

II. - L'article L. 136-3 du même code est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Par dérogation aux troisième et quatrième alinéas, la contribution est, dès l'année au titre de laquelle elle est due, calculée sur la base du revenu effectivement réalisé lorsque l'employeur ou le travailleur indépendant a exercé l'option prévue au septième alinéa de l'article L. 131-6. »

III. - Les dispositions des I et II sont applicables aux cotisations et contributions afférentes aux années 2004 et suivantes.

 

 

Cet article pourtant applicable de plein droit depuis le 01 janvier 2004, n’est en réalité pas mis en pratique pour des raisons obscures.

 

Obstiné, c’est par l’IGASS que la situation a commencé à s’éclaircir à réception  d’un E-MAIL dont le contenu intégral est reproduit ci-après :

 

Bonjour monsieur,

 

Je vais tenter de répondre à votre mail.

 

D'abord la mesure que vous évoquez n'est pas mise en place effectivement. Nous nous heurtons à des difficultés pratiques et théoriques. L'objectif étant de faire simple, compréhensible, soucieux du respect du droit des travailleurs indépendants comme de celui des caisses de sécurité sociale. Nous espérons aboutir à quelque chose de cohérent et de praticable dans les semaines qui viennent. Les caisses de sécurité sociale pourront alors appliquer la mesure.

 

Je précise par ailleurs que le dispositif n'est pas particulièrement orienté vers les créateurs d'entreprises : il peut évidemment les concerner, mais peut s'appliquer aussi à des entreprises établies depuis longtemps, ou à des personnes qui ont des activités indépendantes sporadiques. 

 

En tout état de cause, il concerne une cible particulière de travailleurs indépendants : les indépendants relevant du régime fiscal de la micro entreprise ou du régime micro BNC, c'est à dire sauf exception (pour les BIC), à des entreprises ou personnes dont le CA hors taxes est inférieur ou égal à 27000 €. L'exception concerne les entreprises dont le commerce principal est de vendre des marchandises, fournitures ou denrées à emporter ou à consommer sur place ou de fournir le logement : dans ce cas le chiffre limite de CA hors taxes admis par la législation fiscale est de 76300 €.

            Espérant avoir répondu à certaines de vos questrions.

Cordialement 

P. G. (Je connais le patronyme complet)

 

Commentaires du paragraphe 1 :

 

-         Il est reconnu que le dispositif n’est pas mis en place malgré un application à partir du 01 janvier 2004

-         Qui osera croire qu’une loi votée, connaît des difficultés pratiques et théoriques ?

-         On ne doute à aucun moment que l’on ait pas chercher à faire simple, compréhensible et avec le soucis d’un respect pour les travailleurs indépendants (voir sur tout le site)

-         Personne ne doutera que les intérêts de Sainte Sécu ne soient pas pris en compte ;

-         Bien entendu, ces gens espèrent (seulement) aboutir à quelque chose de cohérent (préférable) dans les semaines qui viennent (sans délai). . . .

 

Commentaires du paragraphe 2  et 3 :

 

-         ENFIN on s’approche de la réalité    

 

L’article 35 est applicable depuis le 01 janvier 2004, le lois de la Républiques doivent être appliquées, ou faut-il insérer une banane dans notre drapeau.

 

Innovation, création d’entreprises

 

La France bonne dernière de 41 pays

 

L’étude GEM 2003, sponsorisée par l’ONU, couvrant 41 pays représentant les 2/3 de la population mondiale, réalisée par plus de 180 experts et plus de 100 000 enquêtes classe la France dernière ou avant dernière pour la création d’entreprise, l’innovation et la création d’emplois par les entreprises nouvelles

(source IFRAP, Société Civile N°32 janvier 2004)

 

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La raison illégale de la non application de cet article :

textes intégraux

 

MESSAGE DE LA FEDERATION

Montreuil le 3 décembre 2003 à 17h

Ce jour à l'appel, de toutes les fédérations, les personnels des organismes gérant la protection sociale des travailleurs indépendants (commerçants et artisans) étaient en grève. Cet appel a largement été relayé par une coordination des salariés de ces régimes.
Dans le même temps la fédération CGT avait appelé les
salariés des URSSAF et des mutuelles faisant partie des organismes conventionnés à être aussi dans l'action.

Pour la CGT les mots d'ordres étaient parfaitement clairs.
D'une part empécher la mise en œuvre des projets gouvernementaux instituant un système de libre choix pour les travailleurs indépendants de leur organisme de recouvrement. Libre choix qui signifierait la mise en concurrence des régimes obligatoires de sécurité sociale avec les compagnies d'assurance.
D'autre part exiger que toutes les mesures de restructuration se fassent sans aucun licenciement.
Zéro licenciement dans tous les régimes ORGANIC, CANCAVA, CANAM, URSSAF, mutualité c'est l'objectif de la CGT.

A notre demande toutes les fédérations ont été reçues par les ministères de la santé et des affaires sociales avec les représentants de la coordination et de l'UNSA. En effet il nous semblait que l'heure n'était pas aux querelles stériles et que les salariés, très nombreux, réunis en manifestation n'auraient pas compris qu'il y ait deux entrevues distinctes tel que cela avait été envisagé initialement.
Ce souci unitaire nous avons eu quelques difficultés à le faire partager par l'UNSACADO, syndicat UNSA des agents de directions, des régimes des travailleurs indépendants.
Mais qu'importe l'essentiel est que tous les membres de la délégation, organisations syndicales et coordinations ont pu être porteurs de la colère et de l'inquiétude des centaines de manifestants à Paris et en province. La CGT a exigé, qu'en cas de suppression d'emplois, un accord soit négocié
imposant au régime général de Sécurité social d'intégrer les salariés des autres régimes et de la mutualité.

Reste que nous n'avons pas eu de réelles réponses à nos questions et pas d'engagement ferme sur l'emploi.
Pour le ministère le choix n'est toujours pas fait entre Régime social des indépendants sans libre choix ou avec libre choix.
Des réponses sur l'emploi ne pourront être données par les pouvoirs publics qu'une fois le scénario choisi.

Le danger persiste. Salariés des régimes de travailleurs indépendants, du régime général, des mutuelles nul ne peut se considérer totalement à l'abri.
De nouvelles dates de rencontre sont prévues :

Les fédérations seront reçues le 4 décembre par l'IGAS, le 9 décembre par l'UPA.

La CGT sera reçue le 11 décembre par le Directeur de la Sécurité sociale.
En outre une nouvelle entrevue avec le ministère est prévue fin janvier.

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Un projet dangereux pour les salariés

Telle qu’elle est envisagée, la création d’un nouveau « chèque-emploi entreprise » nuirait au statut des employés du commerce et de l’artisanat.

Pour, soi-disant, simplifier la vie des petites et très petites entreprises, le gouvernement vient d’élaborer un projet de loi sur « l’initiative économique » qui est en passe de réunir contre lui l’unanimité des acteurs sociaux concernés. Présenté par Renaud Dutreil, le secrétaire d’État chargé des PME, ce texte a déjà été adopté en première lecture, le 11 février, par l’Assemblée nationale. Et, parmi la batterie de mesures prévues, il en est deux qui suscitent le plus grand nombre de critiques, celle qui vise à instaurer un « guichet social unique » et celle qui crée le « chèque emploi entreprise ».

Suppression d’emploi en perspective. C’est ainsi que le guichet unique, destiné à recouvrer les cotisations des travailleurs indépendants, suscite l’hostilité d’organismes tels que la Canam (assurance maladie des travailleurs indépendants), la Roca (regroupement de différents assureurs), mais aussi l’Urssaf (Union de recouvrement de Sécurité sociale et d’allocations familiales). Pour cette dernière, le projet gouvernemental pourrait se traduire par la suppression d’au moins 3000 de ses 12000 salariés. Une menace qui n’a pas manqué de susciter la mobilisation du personnel qui, à près de 90 %, a suivi le mot d’ordre de grève lancé, le 17 février, par ses différentes fédérations, dont la PSTE-CFDT (protection sociale, travail et emploi). Quant à la fédération CFDT des Services, qui entrevoit des effets nocifs pour l’emploi dans le secteur de l’assurance, elle dénonce l’absence de concertation et demande aux pouvoirs publics qu’ils établissent des contre-propositions.


Les employeurs eux-mêmes ne semblent guère convaincus si l’on en juge par la réaction de l’UPA (Union des professions artisanales) (eux voient de la concurrence, je ne connais pas d’artisans liés à la CFDT) pour qui ce texte sur l’initiative économique, «loin de simplifier la vie des chefs d’entreprise, risque d’avoir l’effet inverse de celui escompté».
Autre disposition controversée, le chèque-emploi entreprise qui, sur le modèle du chèque-emploi service ouvert aux particuliers, serait utilisable au titre des salariés dont l’activité n’excède pas 100 jours sur une année civile et par les entreprises dont l’effectif ne dépasse pas trois salariés en équivalent temps plein. Effets garantis: le renforcement de la précarité des salariés et leur déconnexion de toute convention collective.
« Une telle proposition ne sera pas sans incidences sur le statut des salariés des PME-TPE », estime Yvonne Delemotte, secrétaire nationale de la CFDT, qui se dit préoccupée par d’autres mesures envisagées, elles aussi au nom de la simplification administrative, comme celles qui visent « la modification des règles du CDD, le régime des sanctions contre l’employeur en cas de non-respect des procédures de licenciement, l’allègement des procédures d’information et de consultation du comité d’entreprise, l’assouplissement en matière d’obligation de reclassement des salariés et de règles de licenciement économique, ou bien encore la restriction des obligations de l’employeur en matière d’hygiène et de sécurité. »

Aucune concertation préalable. D’une façon générale la CFDT, qui par l’intermédiaire de François Chérèque, son secrétaire général, a fait part de ses critiques aux ministres concernés, déplore que ce projet de loi n’ait fait l’objet d’aucune concertation préalable avec les organisations de salariés. Elle compte bien infléchir la teneur de ce texte, notamment par une intervention auprès des sénateurs, avant qu’il ne revienne en débat devant l’Assemblée nationale.  Marc Duvivier © CFDT (mis en ligne le 25 mars 2003)

Les candidats à la création de leur emploi n’ont pas été consultés, pour Chérèque c’est normal. Peu de créateurs sont adeptes de la CFDT. Mais les créateurs doivent justifier de leurs revenus pas les sectes syndicales

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La fin programmée de nos Organismes Sociaux

NON

La fin des emplois fictifs des permanents syndicaux

LE GUICHET UNIQUE POUR LES TRAVAILLEURS INDEPENDANTS                                                            La fin programmée de nos Organismes Sociaux ou l’opportunité d’instaurer un véritable régime de Protection Sociale orientée vers les Travailleurs Indépendants ?

Depuis début novembre 2002, notre syndicat, le SNACOS-CFTC aidé de la Fédération PSE, a alerté les pouvoirs publics des conséquences en matière d’emploi, qu’allait entraîner la mise en place du guichet unique pour les travailleurs indépendants

Ainsi, nous avons rencontré :
- Les responsables de l’
ACOSS (URSSAF)
- Ceux de l’
UPA (M.DURBAN)
- Les ministères des PME (notons que seule, à ce jour, la CFTC a été reçue par ce cabinet ministériel), les ministères des Affaires Sociales et de la Santé
.

Tout récemment, le 18 février, avec les quatre autres organisations syndicales, nous avons également rencontré Dominique CHERTIER, conseiller social auprès du Premier Ministre, accompagné de Monsieur FAUVERGE, Directeur de Cabinet des Affaires Sociales, et Monsieur VIOSSAT, Directeur de Cabinet du Ministère du Travail.

Force a été de constater la volonté, très forte, d’instaurer le Guichet Unique (soit dans la loi sur l’initiative économique, soit dans les ordonnances annoncées pour ce printemps). Bien qu’une grève ait été fortement suivie dans les URSSAF, les CMR et leurs OC, les membres du Cabinet du Premier Ministre n’ont pas, malgré notre demande très ferme, pris l’engagement de retirer les articles 6 et 18 instaurant le Guichet Unique.

A notre avis, Seul resterait à désigner l’Organisme retenu.

Actuellement, une commission, composée d’experts de l’Inspection Générale des Affaires Sanitaires et Sociales (IGASS), l’Inspection Générale des Finances (IGF), l’Inspection Générale de l’Industrie et du Commerce (IGIC), est chargée d’étudier la faisabilité et doit rendre ses conclusions pour la fin du mois de mars. Leur mission consiste à procéder à un état des lieux des différents organismes concernés : faisabilité en vertu de leurs systèmes informatiques, les compétences métiers, les volumes de personnel concernés, etc.

A priori, et à notre demande principalement, nous avons obtenu que la lettre de mission soit étendue à l’étude de solutions alternatives au Guichet Unique.

Quels sont les enjeux ?

Que le guichet unique soit affecté aux Caisses Vieillesse (ORGANIC et CANCAVA) ou aux URSSAF, l’impact en matière d’emplois est très important.

Nous estimons la suppression des emplois à environ :
- 1 500 à 3 000 dans les URSSAF
- 1 500 à 1 800 dans les CMR et leurs OC
- 2 000 dans les Caisses Vieillesse (au cas où les URSSAF seraient retenues)                              
vous pouvez vous créer vos emplois. . . 35 heures en 2 jours

Dans tous les cas, le Régime Maladie des Travailleurs Indépendants est fortement concerné, d’autant plus que certains préconisent que l’organisme, chargé du Guichet Unique, gère le fichier des Travailleurs Indépendants de l’immatriculation à la radiation ! ! !

Ne jouent-ils pas aux Apprentis Sorciers ?

En effet, dans ces conditions, les CMR et leurs OC perdraient entre 30 et 45 % de leurs tâches. Certains pensent que cela pourrait être compensé en donnant aux CMR la liquidation des prestations.

C’est alors signer l’arrêt de mort des Organismes Conventionnés ? Que devient leur personnel ?                                                                                                                                                               il crée son emploi

Et par ailleurs, dans les CMR, le métier "liquidation des prestations" n’existe pas.
Ainsi, l’Etat ne profiterait-il pas de l’occasion pour donner ce domaine aux
Caisses Primaires (c’est leur métier, les taux de liquidation sont identiques, ce sont les mêmes règles).

Ce serait donc également la fin de la Branche Maladie des Travailleurs Indépendants
Et raisonnons, jusqu’au bout,
Y aurait-il encore un intérêt à garder, à maintenir un
Régime Vieillesse des Travailleurs Indépendants dans cette optique ! ! !

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LA CFTC DIT HALTE !

Pour elle, la question fondamentale aujourd’hui se pose dans les termes suivants :
Les Travailleurs Indépendants veulent-ils vraiment un Régime de Protection Sociale qui leur est propre ?

Si tel est le cas, leurs représentants doivent travailler ensemble, et quelque soit le régime dans lequel ils évoluent, ceux-ci doivent présenter des propositions communes et convergentes, à savoir :

1 - Asseoir leur régime de protection sociale des Travailleurs Indépendants ;

2 - Donner aux Caisses Vieillesse, l’encaissement des cotisations et le contentieux éventuel.

3 - Maintenir toutes les Caisses, Vieillesse et Maladie, afin que chacun réponde aux besoins exprimés par les usagers.
Ainsi, le champs du Guichet Unique doit être limité au seul encaissement des cotisations, et non à la gestion du fichier de l’immatriculation à la radiation.

4 - Permettre aux URSSAF de jouer leur rôle, de conseil en particulier, à l’égard des Travailleurs Indépendants, employeurs.

La CFTC défendra cette thèse devant les membres de la commission, suscitée ainsi que devant Madame BOCANDÉ, rapporteure désignée de la Commission Spéciale du Sénat, chargée d’étudier la loi sur l’initiative économique.

Il nous semble que, si Guichet Unique, il doit y avoir, cette situation serait la moins pénalisante pour le personnel travaillant dans nos institutions.

Cela, bien entendu, ne se fera pas sans mal pour le personnel : des mutations seront nécessaires, des adaptations et des changements de métiers, etc.

Notre organisation syndicale jouera alors pleinement son rôle dans les relations avec l’Etat, instigateur du Guichet Unique, dans le cadre du partenariat social en contribuant à l’élaboration d’un accompagnement concerté.

Nous n’en sommes pas encore là.

Pour l’instant, nous devons sauvegarder nos emplois.                                                                                           Ceux qui ne doivent compter que sur eux-mêmes doivent sauvegarder leur chance réussite en priorité.

Cela, à notre avis, passe par le maintien, voire le renforcement, d’un Régime de Protection Sociale Spécifique aux Travailleurs Indépendants.

AGENTS DES CAISSES VIEILLESSE, DES CMR, DES O.C ET DE TOUTE LA PROTECTION SOCIALE –

AGISSONS ENSEMBLE. Sauvons les permanents syndicaux

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Au sujet du GUICHET UNIQUE, beaucoup d’entre vous, nous contactent pour connaître le suivi.

Les organisations syndicales :

C.F.D.T.   C.F.T.C.   C.G.C. et F.O.

Ont décidé de vous tenir informés, bien que cela soit régulièrement fait par la Direction au travers de la GED.

Nos organisations continuent de prendre et d’obtenir des rendez-vous avec les parlementaires et tous les protagonistes qui pourraient être partie prenante dans ce dossier.

Le même langage est toujours maintenu : LE GUICHET UNIQUE SE FERA, mais personne n’en connaît, ni ne peut en exposer les modalités.

QUOI DE PLUS A CE JOUR ? : Le 18 mars dernier, la FNMF, la CANAM et la FFSA ont adressé un courrier commun à Monsieur DUTREIL. Dans ce courrier, les Organismes conventionnés se positionnent pour se voir confier le rôle de prestataire pour le compte d’autres organismes comme ils le font déjà pour la CANAM.

La commission spéciale du sénat chargée d’examiner le projet de loi a demandé le retrait de l’amendement 18 bis sur le GUICHET UNIQUE tel que présenté actuellement.

Il semblerait que la menace s’estompe et que la mise en place d’un tel processus se fasse plus en douceur.

La vigilance reste de rigueur dans la mesure où le gouvernement pourrait toujours légiférer ce GUICHET UNIQUE par ordonnance après le passage en seconde lecture devant les députés le 08 avril prochain et les sénateurs le 06 mai 2003.

         Nous ne manquerons pas de vous tenir informés dès que l’actualité sur le sujet le justifiera.

 Contacts : XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

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Le Tribunal des Affaires de Sécurité Sociale a été saisi,                                    le jugement sera sur le site. . .

Accusé de réception reçu et date d’audience impossible à préciser . . .   pas mal pour une procédure d’urgence

 

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